Philippe Debruyne

J’habite le 19^ème depuis 1992. Ancien syndicaliste, je suis cadre dans une Scop du 18^ème. J’ai rejoint Europe Ecologie dans la dynamique de la campagne européenne de 2009 et j’ai retrouvé dans les principes et la pratique politique de Bernard Jomier une démarche et des valeurs auxquelles je crois.

Il met à distance deux périls de la politique institutionnelle classique : le dogmatisme et son double, le renoncement.

Bernard a des convictions forgées par l’expérience de ses engagements mais croit aux vertus de la confrontation démocratique, pour convaincre mais aussi pour écouter, c’est-à-dire pour mobiliser au-delà de ses propres rangs. C’est l’écologie 2.0.

Bernard inscrit son action dans le quotidien de ses concitoyens, en intégrant les contraintes réelles mais avec la ferme résolution de la transformation écologique. C’est l’écologie des solutions.

Paris a besoin de l’écologie politique pour se régénérer. Encore faut-il créer un mouvement qui attire les énergies plutôt qu’une posture strictement identitaire. Bernard Jomier en a déjà fait la preuve lors de précédentes campagnes, notamment aux législatives où il a rassemblé 11 % des voix, le meilleur score d’une candidature écologiste autonome à Paris.